L'Echo de la Fabrique : 11 novembre 1832 - Numéro 55La liberté ranimant les cendres de Guillaume Tell sur les monts Helvétiens. Voila le titre d’un poème qu’un jeune homme de 18 ans, M. J. M. L. Augier1, vient de publier. Ce cadre est magnifique, nous devons féliciter l’auteur d’avoir su le choisir. Le canon de juillet avait retenti pendant trois jours à Paris, Et sur nous il se tut… Sa voix sombre et puissante, L’auteur termine ce poème par un vœu patriotique, formulé en beaux vers, et que je transcris avec plaisir. Waterloo ! champ de mort, terre des funérailles ; Nous avons cité au hazard et sans affirmer que tout le poème soit constamment à la même hauteur, nous croyons que des encouragemens sont dus à ce jeune homme. Marius Ch......g. Notes de base de page numériques:1 J.-M.-L. Augier, La liberté ranimant les cendres de Guillaume Tell sur les monts Helvétiens, poème publié à Lyon à l’imprimerie de J. Perret. |