L'Echo de la Fabrique : 27 janvier 1833 - Numéro 4[8.2]M. Fulchiron ne peut pas digérer les banquets Odillon-Barrot et Garnier-Pagès, surtout le dernier. Il n’y a qu’heur et malheur en ce monde. Après avoir écouté M. Garnier-Pagès il faut subir le discours de M. Fulchiron. Il n’y a rien de si sot ni de si fier qu’un parvenu. M. Fulchiron, fils et petit-fils d’ouvriers, est ce qu’on appelle un parvenu. Comme il a dégénéré de ses aïeux, ce M. Fulchiron, c’étaient de braves et laborieux ouvriers, et lui n’est qu’un opulent banquier. |