vers écrits sur un album,
par M. de Lamartine.
Le livre de la vie est le livre suprême
Qu’on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix ;
Le passage adoré ne s’y lit pas deux fois ;
Mais le feuillet fatal s’y tourne de lui-même,
On voudrait revenir à la page où l’on aime,
Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts.