« L’atelier sera placé sous la surveillance du cousin de M. Chantre » ii. Au même instant où ces paroles furent prononcées, un brouhaha moqueur s’éleva, l’huissier partagea l’hilarité de l’auditoire ; il lui fallut faire un effort pour comprimer sa bonne humeur, et c’est en souriant cette fois qu’il prononça son goujonique paix-là.
– C’était donc à l’audience du conseil des prud… que ce drame comique avait lieu, Goujon régnant l’an deuxième de la prohibition de la défense. – C’était M. le président lui-même qui formulait ainsi son jugement ; j’en ris encore… et depuis, je ne rencontre aucun ami sans lui dire : Connaissez-vous le cousin de M. Chantre ?
Le Solitaire du ravin1.