(168) prométhéides, revue du Salon de 1833, 12 livraisons. Les quatre premières ont déjà paru ; la dernière paraîtra le 25 mai prochain au plus tard. Les souscripteurs recevront à cette époque une table des matières et un titre qui contiendra le nom des deux auteurs de cette revue, qui jusque-là gardent l’anonyme. On souscrit chez Armand-Cristophe, au Cercle Littéraire ; boulevard Bonne-Nouvelle, n° 2. – Prix : 12 fr. pour les douze livraisons, franc de port. – Chaque livraison détachée, 1 fr. 50 c.
(180) Tablettes historiques ou journal des faits politiques, administratifs, scientifiques, commerciaux, industriels, agricoles et littéraires. – Ce journal paraît tous les mois par cahier de 32 à 56 pag., in-12, prix : 50 c. par mois, 6 fr. pour l’année. Les abonnés recevront gratuitement le 1er janvier de chaque année trois exemplaires sur grand papier, en forme de tableau synoptique d’un almanach historique et récapitulatif des événemens de l’année précédente. On s’abonne à Paris, chez M. Dupont, imprimeur, rue Grenelle-St-Honoré, n° 55.
[8.1]Pastilles de Lepère
Contre les Rhumes et les Catharres.
Au moyen de ces pastilles on obtient, en quelques jours, la guérison complète des rhumes les plus opiniâtres, et l’on empêche les catharres de dégénérer en phthisie. Ce remède a procuré et procure chaque jour un si grand nombre de guérisons remarquables par leur promptitude et par leur solidité, qu’en peu de temps il s’est acquis la plus excellente réputation, quoique M. LEPÈRE ne l’ait placé sous le patronage d’aucun nom célèbre.
Prix : Une dose contre le rhume : 2 f. 25 c.
Une dose contre les catharres : 1 f. 75 c.
Une seule dose de 2 f. 25 c. suffit pour guérir un Rhume.
Les pastilles ne se trouvent que chez M. lepère, pharmacien, place Maubert, n. 27, à Paris.
Les dépôts sont chez M. Deschamps, pharmacien, à Lyon ; M. Gauthey, pharmacien, à Lyon ; M. Couturier, pharmacien, à St-Etienne.
Chaque boîte est renfermée dans une enveloppe revêtue du cachet et du paraphe de M. LEPÈRE. (179)
[178] l’avis sanitaire pour 1833, contenant les nouvelles observations des consommateurs du café de santé et du café-chocolat rafraîchissant dit de la Trinité, se trouve en lecture dans tous les cabinets littéraires, et se distribue gratis dans les dépôts.
A Lyon, chez MM. Paillasson frères, négocians, rue Lanterne, n° 1.
Les personnes habitant les localités où il n’y a point de succursales, s’adresseront avec les renseignemens d’usage à la maison générale, rue Beauregard, n° 6, Paris.
MALADIES DE POITRINE.
Le Sirop pectoral de Vélar, approuvé des facultés de médecine comme le plus puissant spécifique dont on puisse faire usage contre les rhumes, catarrhes, asthmes, irritations d’estomac et de poitrine, les crachemens de sang ou émopthisie, transpiration arrêtée, vulgairement appelée chaud et froid, et contre la coqueluche, se vend chez courtois, ancien pharmacien interne des hôpitaux civils et militaires, place des Pénitens-de-la-Croix, à St-Clair, près la Loterie. L’efficacité de ce Sirop est constatée par de nombreuses guérisons mentionnées au prospectus qui accompagne les flacons.
avis relatif au sirop de vélar.
M. Courtois prévient les personnes qui sont dans le cas de faire usage du Sirop de Vélar, qu’il n’a établi des dépôts de ce Sirop chez aucun pharmacien ni autre personne de Lyon. C’est donc un mensonge manifeste que plusieurs pharmaciens prétendent tirer ce Sirop de sa pharmacie, et une pure jonglerie. En conséquence, les personnes qui tiennent à du Sirop de Vélar de la pharmacie Courtois, sont prévenues qu’elles n’en trouveront que chez lui. (176)
(170) A remettre de suite, par cessation de commerce, bien au-dessous du prix et avec facilités pour le paiement, un atelier de sept métiers avec son dévidage et les ustensiles d’un magasin propre à la fabrication des étoffes de soie ; si on le désirait on pourrait continuer à fabriquer pour son compte, ayant déjà une clientèle formée, et on donnera la suite du bail. S’adresser à la Grand’Côte, n° 15, au 2e, chez M. Favrot.
(181) A vendre, atelier de 5 métiers en 600 et 900, avec tous les accessoires. S’adresser au bureau du journal ou chez M. Suiffet, rue du Charriot-d’Or, n° 11, au 2e, à la Croix-Rousse.
(182) A vendre, 2 métiers de crêpe de Chine, 4|4 et 5|4, et 2 mécaniques en 400 et 600. S’adresser rue Juiverie, n° 16, au 1er.
(183) A louer de suite, à Tarare, hors l’octroi, vaste bâtiment propre à une fabrique de 30 à 40 métiers et leurs dépendances, cour et grand jardin. S’adresser au bureau.
[132] A vendre deux métiers de lancés en 5/4 et 6/4, travaillant en chals cairés à corps et à lisse, ayant chacun une mécanique en 600, avec ou sans l’appartement et suite de bail ; chez Mme Bonneton, à la Guillotière, rue Basse, n° 6, au 4e, maison Comballot, près le pont.
(160) A vendre, pour cause de départ, un atelier de 4 métiers complets, dont 2 propres à la fabrication de velours façonnés, et les 2 autres pour courans. Le tout à un prix très-modique. S’adresser au bureau.
[8.2](159) L’on désire un jeune homme de 14 à 17 ans, pour apprendre un état lucratif.
S’adresser chez M. Molard, boulanger, cours d’Herbouville, n° 2.
(166) A vendre un atelier de mouchoirs et rubans, composé de 5 métiers de 400, 600 et 900.
S’adresser au bureau.
(155) A vendre ensemble ou séparément, un superbe atelier de 5 métiers, articles nouveautés à la Jacquard, et facilités pour le paiement. S’adresser au bureau du journal.
(157) A vendre de suite un atelier de 4 métiers d’unis en activité, une mécanique ronde, avec tous les accessoires et suite du loyer. S’adresser au bureau.
(174) A vendre, un métier de courant, en 10 chemins et mécanique en 400. S’adresser à M. Defisse, rue Bouteille, n° 15, au 3e.
(175) A prendre un métier de maître tout complet, en unis, pour le prix de 8 fr. par mois ; on fournira aussi le lit. S’adresser chez M. Guyon, rue Tholozan, n° 6.
[169] Le sieur david, mécanicien, à Lyon, place Croix-Pâquet, breveté pour les nouvelles mécaniques rondes, longues et en fer à cheval, à devider et à faire les cannettes, ensemble ou séparément, prévient qu’il va y adapter un nouveau moyen qu’il a inventé pour arrêter les cannettes à plusieurs bouts quand un des fils casse, moyen qui donne en même temps une égale tension à tous les fils. Il fait observer que ces nouvelles mécaniques à canettes sont des plus avantageuses, pouvant, sur une petite mécanique en forme de fer à cheval, avec un seul rang, faire 10 à 12 cannettes à tant de bouts que l’on désire, 20 et 24 sur deux rangs, et avec la facilité de ne pas tendre beaucoup les bras ; elles se font à la flotte pour coton, fantaisie, tibé, etc.
Il fait des échanges de ces nouvelles mécaniques contre les anciennes qu’il revend à bon marché.
[137] tranchat, mécanicien, rue du Commerce, n° 18, vient d’obtenir un brevet d’invention et de perfectionnement, pour le procédé qu’il vient d’ajouter à ses cannetières par lequel la cannette s’arrête aussitôt qu’un des bouts casse, ou que la soie d’un roquet est employée ; il reste toujours hors la cannette une longueur de 8 pouces de soie pour nouer. Ces cannetières offrent non-seulement l’économie de la matière et de la main-d’œuvre, mais l’avantage de donner à l’étoffe toute la régularité, la propreté et l’éclat dont elle est susceptible. Le crémage, les trames rebouclées ou tirantes sont impossibles, et les lisières parfaites par l’emploi des cannettes provenant de ces cannetières, qui les font également à quel nombre de bouts que ce soit.
Le sieur Tranchat tient aussi magasin de mécaniques à la Jacquard, de mécaniques à devider, de moulinages. Il fait ses cannetières propres à faire autant de cannettes qu’on le désire. On peut les voir en activité chez MM. Morel, rue des Tables-Claudiennes, n° 14, et Martinon, place de la Croix-Rousse, n° 17.
[120] au rabais.
Joinon, chapelier, quai Monsieur, n° 122, prévient le public qu’il tient un assortiment de chapeaux de feutre, feutre pour gilets et autres usages dont il démontrera l’utilité.
Les prix réduits pour les chapeaux, de 20 à 15 fr,
Idem. de 15 à 12 fr.
Idem. de 12 à 9 fr.
On cédera également au rabais les gilets et le feutre en pièce.
(184) A vendre, atelier de 4 métiers de velours façonné à cointre, avec tous leurs accessoires. On cédera aussi l’appartement. S’adresser chez M. Collomb, à la Croix-Rousse, rue Dumenge, n° 1, au 3e.
avis.
Une pièce mousseline, soie écrue, a été perdue vendredi soir, de la place Croix-Pâquet à la place des Terreaux. Les personnes qui l’auront trouvée sont priées de la rapporter au bureau du journal. Il y aura récompense.
(173) Une Compagnie d’assurance mutuelle et générale des créances hypothécaires vient de se former à Paris. M. Marius Chastaing a été nommé son directeur à Lyon. Les personnes qui désireraient se mettre en rapport avec cette société, soit pour placer leurs fonds, soit pour emprunter, sont priées de s’adresser à lui, dans son cabinet, rue du Bœuf, n° 5, au 2e ; où il est visible tous les matins jusqu’à onze heures, et le soir de quatre à six heures.