Au Rédacteur.
LyonLyon, ce 29 avril 1833.
Monsieur,
Je crois devoir porter à la connaissance de mes collègues que la maison Coteret et Ce, pour laquelle je viens de travailler, s’est trouvé formalisée de ce que je lui réclamais les tirelles ; lorsque ces messieurs m’ont soldé mon compte ils m’ont assuré que j’étais le premier à qui ils les accordaient. Ainsi je suis bien aise de donner de la publicité à ce fait pour que je ne sois pas le dernier.
Agréez, etc.
Chardonnait.