Au Rédacteur.
Monsieur,
Je viens vous signaler un abus qui n’est cependant pas nouveau, mais je crois devoir porter à la connaissance de mes collègues que MM. Arquillière et Mourrot, m’ayant promis un sou d’augmentation sur une pièce que je leur ai rendue le 3 juin courant, quelle fut ma surprise quand je vis porter sur mon livre bonification. Ainsi je vous prie, Monsieur, de vouloir bien insérer la présente afin de faire cesser cet abus de la part de MM. les négocians, qui ont l’air de nous donner l’aumône.
Agréez, etc.
Pingeon.