Daniel le Lapidaire1.
Tous les organes de la presse, sans distinction, ont payé à Daniel le Lapidaire, contes de l’atelier, par Michel Masson, le tribut d’éloges que cet ouvrage mérite. Le public a confirmé les suffrages de ses représentans, et la 3e édition voit le jour, ce qui est bien, quoi qu’on dise, un signe non équivoque de la faveur populaire.
Nous avons sous les yeux le tome premier de Daniel le Lapidaire, et nous nous rangeons avec plaisir à l’avis de nos confrères de la capitale. Trois nouvelles ou contes composent ce volume : La femme du réfractaire, une Mère, et la Complainte. Nous ne pourrions en donner qu’une idée très incomplète ; nous engageons les lecteurs à les lire eux-mêmes-, ils y trouveront une lecture attachante et morale, telle que la demandent les progrès de l’esprit humain et l’état actuel de la société.
(Voy. les Annonces)