Lectures Prolétaires.
Dédaigner certaines personnes que l’on connaît, me semble assez naturel ; mais dédaigner celles que l’on ne connaît pas, me paraît absurde. On devrait du moins en essayer.
(Doutes sur quelques opinions)
Dans un nombre d’années, il y aura dans les villes des hommes nouveaux ; dans les maisons, de nouveaux habitans ; dans ce monde, un monde nouveau. Ceux qui l’habiteront alors diront à leur tour : Nous mourrons tous, on viendra méditer sur notre tombe.
(Anonyme)