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2 novembre 1834 - Numéro 7
 
 

 



 
 
    

Dans notre dernier N° à l’article Ruine des fabricans de châles, nous n’avons porté, suivant l’usage que 250 jours de travail. On nous fait observer que le conseil en fixant à 9,000 passés la journée moyenne, a eu égard non, comme nous le pensions, au plus ou moins d’habileté des ouvriers, mais aux fêtes et chômages, et que pour que notre calcul soit exact, il faut porter à 300 le nombre des jours ouvrables ; il en résulte une augmentation de 110 f., laquelle ne change rien en définitif au tableau que nous avons présenté de l’état de détresse de cette industrie. – On meurt de faim aussi bien avec un sou qu’avec deux liards.

 

 

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