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1 mars 1835 - Numéro 9
 
 

 



 
 
    

Nous avons reçu de M. Dumas-Perouse une note par laquelle il déclare que tous les griefs contenus dans sa lettre du 18 de ce mois, contre M. Laforêt, insérée dans notre dernier numéro, sont faux, et qu?il n?a qu?à se louer des bons procédés de ce négociant.

Nous n?avons aucun intérêt à révoquer en doute la vérité de la nouvelle version de M. Dumas-Perouse, et même, d?après nos propres renseignemens sur cette maison, nous sommes portés à croire que le chef d?atelier pouvait bien avoir tort ; il nous semble cependant que puisque M. Dumas-Perouse n?avait aucuns griefs vrais ou faux, il aurait dû 1° ne pas faire appeler au conseil M. Laforêt ; 2° ne pas se présenter avec lui en audience particulière devant M. le président ; 3° ne pas aller porter des plaintes graves au prud?homme de sa section ; 4° et enfin ne pas venir chez notre rédacteur en chef et y signer la lettre qui reproduisait ses griefs. En d?autres termes, il aurait dû rester chez lui.

 

 

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