CHARADE.
L’un après l’autre avec délice
L’avare entasse mon premier,
Et faute de si peu, pourtant en son grenier
Il faut parfois que l’indigent périsse.
La feuille que flétrit l’automne jaunissant
Tombe et de mon dernier est bientôt le caprice ;
Pour deviner mon tout il faut penser souvent.