AVIS.
- deux mille francs à placer en viager, sur deux têtes, pourvu qu’il y ait sûreté, peu importe le lieu de la situation des biens. - S’adresser à M. Chastaing, rue du Bœuf, n° 5, au 2e.
- On demande des apprentis et apprenties pour la fabrication des velours et autres étoffes.
[26] On demande à louer, pour maître, un métier 5/4 mécanique en 400, dans les environs de la rue Tholozan.
- On demande des maîtres pour bordures corps plein, 4/4 et 5/4. S’adresser au Bureau du Journal.
- On demande un ouvrier pour un métier de velours façonné, coupé, soit fond satin ou Batavia, au choix, prix 8 fr.
S’adresser à M. Charvet , rue des Fossés, n° 7, au 3me.
[2] A vendre, un atelier de 6 métiers en velours façonné et uni, avec beaucoup d’ustensiles et accessoires.
S’adresser chez M. Drivon cadet, côte des Carmélites, à la barrière de fer.
[12] A vendre, un métier de courant complet, ayant une mécanique en 600.
S’adresser chez M. Granjon, rue Juiverie, n° 16.
[20] A vendre, une belle mécanique à dévider, longue et à marche, 32 guindres.
S’adresser à M. Fayolle, rue Casati, n° 1, au 6e étage.
A vendre, une mécanique en 400, un battant 6/4 à double boîte, et un peigne 6/4 en 90 portées.
S’adresser chez M. Oray, cabaretier, rue Tholozan.
[3] A vendre, un atelier de 4 métiers travaillant, soit en velours unis et façonnés, gros de Naples, et armures avec ustensiles et accessoires. On traitera aussi de la vente du mobilier ; le tout à juste prix.
[19] A vendre, deux métiers au quart, avec accessoires, mécanique en 1,200.
[21] A vendre, un métier de courant, 10 chemins, mécanique en 400, et accessoires.
[23] A vendre, un atelier de 3 métiers, mécanique en 600, une en 400, et une petite mécanique d’armure et divers ustensiles, ensemble ou en détail, et un mettage en main de 4 grandes chevilles.
[24] A vendre, un bel atelier de 3 métiers en 6/4, mécaniques en 1,600 et 1,800, avec tous ses accessoires propres à la fabrication, avec un bel appartement, situé dans un bon quartier.
S’adresser au Bureau du Journal.
avis. Les adresses seront délivrées gratis aux ouvriers.