L'Echo de la Fabrique : 19 mai 1833 - Numéro 20(198) par brevet d’invention. (195) A vendre, mécanique en 400, 700, 1,000, régulateurs de première force, rouleau 5/4, planches d’arcades, 5/4, 6/4, et caisse pour cartons ; le tout en très-bon état, ayant peu travaillé. S’adresser au bureau. (207) JOURNAL DES FEMMES. Révolution de 1830 (205) Œuvres de M. CARRÉ, doyen de la faculté de Rennes, proposées par souscription, au prix de 88 fr. Chez M. Dupont, libraire, rue de Grenelle-St-Honoré, n. 55, à Paris. (172) Le Siècle, Revue critique de la littérature des sciences et des arts, paraissant tous les samedis par cahiers de deux feuilles d’impression (32 pages in-8°.) Prix, pour les départemens, 24 fr. pour six mois, 46 fr. par an (3 fr. de plus par trimestre pour l’étranger). On s’abonne à Paris, au bureau du journal, rue du Battoir-St-André, n° 1 ; chez Roret, libraire, rue Hautefeuille, n° 10 ; et chez tous les libraires et directeurs de la poste. (180) Tablettes historiques ou journal des faits politiques, administratifs, scientifiques, commerciaux, industriels, agricoles et littéraires. – Ce journal paraît tous les mois par cahier de 32 à 50 pag., in-12, prix : 50 c. par mois, 6 fr. pour l’année. Les abonnés recevront gratuitement le 1er janvier de chaque année trois exemplaires sur grand papier, en forme de tableau synoptique d’un almanach historique et récapitulatif des événemens de l’année précédente. On s’abonne à Paris, chez M. Dupont, imprimeur, rue Grenelle-St-Honoré, n° 55. Notes de base de page numériques:1 Le Journal des femmes. Gymnase littéraire était publié à Paris depuis mai 1832. Toutefois le premier journalisme féminin prend alors plutôt son essor dans La Femme libre, publié à partir de mai 1832. Ce journal allait permettre à d’anciennes sympathisantes saint-simoniennes, Jeanne-Désirée Véret ou Suzanne Voilquin de commencer à publier des textes nouveaux dénonçant l’assujettissement des femmes qu’organisait le Code de 1804 et développant de nombreuses propositions sur l’instruction, l’indépendance économique, l’assouplissement des règles civiles du mariage. À Lyon, c’est un peu plus tard, à l’automne 1833, que Le Conseiller des femmes, d’Eugénie Niboyet va développer une tentative similaire. |