L'Echo de la Fabrique : 13 novembre 1833 - Numéro 4

Les garçons-perruquiers nous prient d’annoncer que s’ils attendent le 1er janvier pour faire connaître leurs prétentions, ce n’est nullement pour recevoir leurs étrennes avant toute discussion, comme on pourrait le croire, mais seulement parce que c’est à cette époque que commence pour eux un surcroît de travail occasionné par les visites, soirées, bals, etc. Nous nous empressons de faire droit à cette juste réclamation.

 

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