L'Echo de la Fabrique : 11 décembre 1833 - Numéro 12

cancans.

On ne dira pas qu’il n’y a pas de justice en France, ni que l’égalité ne règne pas devant la loi : on vient de condamner à la réprimande M. PERSIL.

On nous communique une chanson qui a pour titre : Alleluia ou le Prud’homme démissionnaire… Nous l’insérerons dans un prochain numéro.

M. Lab… est un bon danseur, c’est une justice à lui rendre ; M. le préfet en est convenu lui-même. Ses collègues ne peuvent pas le savoir, puisqu’ils n’y étaient pas ; mais est-il un bon prud’h.... ? Oh ! vous êtes bien curieux.

Puisqu’il est à la caisse de prêts, il devrait bien se faire prêter. Et quoi ? de l’argent. Il n’en a pas besoin. Est-ce qu’il n’aurait pas besoin d’autre chose ? Sans doute, mais on n’en prête pas à la caisse de prêts.

M. L.... n’est plus prud’homme… Il lui restera encore 6 ou 7 fonctions à remplir.... Tous les cumulards ne sont pas à Paris.

M. L.... va s’engager aux Funambules : il jouera le rôle de paillasse et divertira le public par ses bons mots.

 

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