MAXIMES MORALES.
– On aime véritablement sa patrie, que quand on attaque les erreurs et les folles préventions qui s’y répandent avec d’autant plus de vitesse, que trop souvent personne n’y met obstacle. (Dethou1)
– Celui-là seul est chrétien, qui est miséricordieux pour tout le monde, qui ne se laisse ébranler par aucune injure, qui est affecté des souffrances des autres comme s’il les éprouvait lui-même, qui ne souffre pas qu’on opprime le pauvre, et qui porte secours aux malheureux. (St-Augustin)
– C’est une grande richesse que de se contenter de ce qu’on a. (St Paul)
– Nous devons travailler à nous rendre dignes d’estime et de considération ; le reste ne nous regarde pas, c’est l’affaire des autres. (Labruyère)
Les réputations mal acquises se changent en mépris. (Vauvenargues)