LOGOGRIPHE.
Il faudra si l’on veut me voir,
Me chercher dans la matinée
Et non au bout de la journée,
Car je n’existe, plus le soir.
Veut-on faire perdre ma trace,
En m’ôtant le cœur, c’est en vain,
Je parais sous une autre face,
Le dirai-je : on me tient en main.