L'Echo de la Fabrique : 15 février 1835 - Numéro 22

BON A SAVOIR.

Nous aurions cru que tous les fabricans s’étaient conformés aux décisions du conseil de prud’hommes, relativement aux tirelles et à l’enlassage de cartons. Aujourd’hui, nous apprenons avec peine que la maison Villefranche a placardé deux tableaux dans ses magasins, ainsi conçus. – On ne paye point d’enlassage de cartons. – On n’accorde point de tirelle et on n’en reçoit pas. Cependant ces chefs d’atelier pourraient se faire faire leur droit sans le secours même du conseil ; car M. Lionnet vient de nous apprendre que ces Messieurs lui ont payé l’enlassage et la tirelle : alors il ne s’agirait que de demander.

 

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