L'Echo de la Fabrique : 31 mai 1835 - Numéro 37Boulangerie mécanique. La farine est déposée dans un local à ce destiné ; une petite pompe puisant l’eau froide et fournissant l’eau chaude au fur et à mesure des besoins du pétrin, y est également adaptée. Ainsi, une fois la farine et l’eau à portée de la mécanique, personne n’y met plus la main ; elle s’approvisionne à mesure de l’une et de l’autre, pétrit la pâte, la sort du pétrin et la présente sous un cylindre qui la réduit à l’épaisseur voulue ; derrière ce cylindre sont des instrument qui coupent la pâte en morceaux égaux et la pousse sur une tôle qui leur fait traverser, sans s’arrêter, un four de construction particulière : au sortir de ce four les biscuits tombent dans une chambre. (Echo des Halles.1) Notes de base de page numériques:1 Il s’agit ici de l’Echo de la Halle aux blés de Paris, devenu Echo des halles et marchés de Paris. Journal des arts agricoles, publié depuis 1826. |