Boulangerie mécanique.
La farine est déposée dans un local à ce destiné ; une petite pompe puisant l’eau froide et fournissant l’eau chaude au fur et à mesure des besoins du pétrin, y est également adaptée. Ainsi, une fois la farine et l’eau à portée de la mécanique, personne n’y met plus la main ; elle s’approvisionne à mesure de l’une et de l’autre, pétrit la pâte, la sort du pétrin et la présente sous un cylindre qui la réduit à l’épaisseur voulue ; derrière ce cylindre sont des instrument qui coupent la pâte en morceaux égaux et la pousse sur une tôle qui leur fait traverser, sans s’arrêter, un four de construction particulière : au sortir de ce four les biscuits tombent dans une chambre.
(Echo des Halles.1)
Notes (Boulangerie mécanique. La farine est déposée...)
Il s’agit ici de l’Echo de la Halle aux blés de Paris, devenu Echo des halles et marchés de Paris. Journal des arts agricoles, publié depuis 1826.