L'Echo de la Fabrique : 28 juin 1835 - Numéro 26LECTURE PROLÉTAIRES. Considère le sort des fragiles humains, [4.1]Tel est donc de la mort l’inévitable empire, Cette fière raison dont on fait tant de bruit, On pratique aisément au sein de la fortune, En morale comme en médecine les panacées sont des chimères. Anonyme. Dieu mesure le vent pour les brebis dépouillées. Enfin, nul mortel n’a pu définir le nœud gordien du plaisir et de la peine, que par le fer qui tranche la vie. L’enthousiasme est l’encens de la terre vers le ciel. Eh ! que sont les fêtes des mortels quant la divinité n’est point invitée à les sanctifier par sa présence. Notes de base de page numériques:1 Jean-François de la Harpe (1739-1803), auteur en 1740 de Philoctète. 2 Référence ici à Gabriel Legouvé (1764-1812), auteur en 1797 de Les Souvenirs, la Sépulture et la Mélancolie. 3 Il s’agit ici de la femme de lettre, Antoinette des Houlières (1638-1694). 4 André-Jacques Coffin-Rony, auteur en 1808 de Theana et Lorenzo, Histoire italienne. 5 Il est fait ici mention de plusieurs ouvrages majeurs de Germaine de Staël-Holstein (1766-1817) ; notamment, De l’Allemagne (1810), Corinne, ou l’Italie (1807) et Mémoires sur la vie privée de mon père ; par Mme la Bonne de Stael-Holstein, suivis des mélanges de M. Necker (1818). 6 Référence ici à Auguste-Hilarion de Kératry (1769-1859), et au poème Lysus et Cydippe (1801). |